Bettrechies,paradis vert

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voici de magnifique photos pour un magnifique petit village rurale trés dénivelé du bavaisis.
entouré de verdure,de bois,de champs et de riviéres.
un petit paradis a 25km de Valenciennes,Mons et Maubeuge


photos de bettrechies

lundi 12 août 2013

FUSION DE LA CCB

Intercommunalités: autour de Mormal, une autre fusion, une autre vision (2/2) Par CÉCILE DEBACHY pour La Voix du Nord, Publié le 17/07/2013 - Mis à jour le 17/07/2013 à 19:39 Par CÉCILE DEBACHY Réagir TweetShare on rssRSS Le journal du jour à partir de 0.79 € Autre territoire, autre manière d’aborder les choses. Dans le Quercitain et le Bavaisis, une autre fusion se prépare, elle aussi, entre la Communautés de communes du Quercitain (CCQ), celle du Bavaisis (CCB) et la Communauté de communes du pays de Mormal et Maroilles (2C2M). Un territoire très rural et périurbain, dont l’intercommunalité fusionnée comptera 53communes, pour seulement 48160 habitants et, si le projet est accepté, 69représentants. Parmi les projets que souhaite développer la future intercommunalité : le développement du tourisme, autour de la forêt de Mormal. PHOTO SAMI BELLOUMI - A + Toutefois, les enjeux sont bien différents pour les présidents des deux principales communautés de communes. « N ous avons moins d’habitants que, par exemple, le bassin d’emploi de Valenciennes, ou celui, industriel, de Maubeuge. Mais nous avons une vraie carte à jouer avec le périurbain et le rural. Le volet tourisme en particulier », explique Guislain Cambier, actuel président de la CCQ et futur président de l’intercommunalité fusionnée, durant sa phase transitoire qui durera de janvier à avril. Pourtant, le territoire couvert par le périmètre de la future communauté est vaste : 80 km, d’est en ouest. « M ais nous avons une vraie identité autour de la forêt de Mormal avec la chaussée Brunehaut, l’architecture, les sentiers de randonnées qu’il nous appartient de mettre en valeur. » Un intérêt qui se retrouvera jusque dans le nom de la future intercommunalité : « Elle devrait s’appeler Communauté de communes du pays de Mormal », poursuit Guislain Cambier. Objet non-identifié À la différence du mastodonte représenté par la future AMVS, Guislain Cambier souhaite des instances resserrées : pas plus de six ou sept vice-présidents, pour plus de proximité avec le territoire et ses habitants. « Il n’est pas question d’avoir une armée de Mexicains autour de la table. On veut quelque chose de transparent. Ce sera le premier acte du président. Nous sommes conscients que pour beaucoup, l’intercommunalité semble parfois éloignée, qu’il s’agit d’un OPNI, objet politique non-identifié. » Comme c’est déjà le cas actuellement, le conseil communautaire devrait d’ailleurs siéger alternativement dans chaque commune. Une façon de ne pas négliger les territoires éloignés des centre-bourgs. Une apparente solidarité qui, pourtant, au démarrage, n’était pas actée. Il y a deux ans, quatre communes du Bavaisis (Bavay, La Longueville, Hargnies et Audignies) souhaitaient se tourner vers l’agglomération maubeugeoise, plus proche, selon leurs représentants, de leurs préoccupations. Mais la majorité l’a emporté, et les quatre dissidentes ont dû se résoudre. « Aujourd’hui, toutes jouent le jeu, travaillent de manière positive, assure Alain Fréhaut, président de la CBB et maire de Bavay. Nous avons un projet commun qui se dessine autour de la défense de la ruralité, c’est important, tout le monde a sa place. » Et pas question pour la politique de s’inviter à la table. « Les communes rurales sont loin de tout ça, la politique n’a pas sa place chez nous », affirme G. Cambier. « C’est la règle du jeu » Une volonté commune autour de laquelle devront se greffer des compétences. Dès le mois de janvier, les compétences obligatoires de chaque communauté de communes seront reprises par la future intercommunalité. Charge ensuite à celle-ci de définir ses axes de travail et nouveaux champs d’actions. Concrètement, pour les habitants de la communauté fusionnée, pas ou peu de changement, du moins immédiat. « Je ne sais pas si ça va être différent pour les gens au quotidien. Les services seront peut-être supplémentaires. Mais il n’y aura pas de grande révolution dans les esprits, juge A. Fréhaut. L’équilibrage des taxes va changer, comme pour la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. On devra la lisser à celle de la CCQ, ce qui pourrait faire 6 à 8 % de plus par an pour les habitants du Bavaisis. Il faudra justifier, équilibrer, c’est aussi la règle du jeu. »

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