Bettrechies,paradis vert

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voici de magnifique photos pour un magnifique petit village rurale trés dénivelé du bavaisis.
entouré de verdure,de bois,de champs et de riviéres.
un petit paradis a 25km de Valenciennes,Mons et Maubeuge


photos de bettrechies

lundi 26 août 2013

EXPLOSION IMPORTANTE? COMME UN TREMBLEMENT DE TERRE DANS LE NORD BAVAISIS

CE VENDREDI 9 AOUT RESTERA GRAVER DANS LES MéMOIRES DES BAVAISIENS AINSIQUE DES HONNELLOIS . 


 LE vendredi 9 aout 2013 a 12h09 une importante explosion va faire trembler toute la region sur un rayon de 20km autour de la carriére de Bellignies c'est de Belgique que viendront les demandes d 'explication. la région a été secoué jusqu' aux portes de Mons (Belgique). en france c' est motus et bouche cousue ,mais ce genre d 'évenement ne peut être étouffé... le village de Bettrechies c'est retrouvé sous une épaisse couche de poussiére a 12h10, les maisons ont tremblées comme jamais. <Des riverains explosent de rage à cause d’un tir de mine raté à la carrière de Bellignies Vendredi 9 août, 12 h 09. Le raffut est assourdissant, le chaos fugace. Des lustres valsent, des vitres se fendillent. Tremblement de terre ? Avion qui aurait passé le mur du son ? Tir de mine raté, dans la carrière Sécab de Bellignies. Les riverains sont furax. Le tir du 9 août à la Secab, la carrière de Bellignies, s’est mal passé.« Ça a claqué, quelque chose de sec qui remonte les tripes… » Joël vit rue d’En-Bas, à Bettrechies, depuis quarante ans. Au bout de son jardin, en contrebas, les carrières de Bellignies. Déclarées ennemies publiques nº1 depuis le 9 août. Date maudite. « J’ai acheté cette maison en 1974, je n’avais jamais vu ça. » À ses côtés, son épouse Nicole opine du chef. Elle a d’abord cru que la terre se déchaînait. « J’ai vu les lustres bouger, des choses tomber. J’ai été très choquée. » Ce jour-là, l’écho se propage jusqu’à la frontière. Les journaux belges s’interrogent sur « la mystérieuse déflagration entendue » non loin de Dour et de Mons. Une onde de choc, un souffle ressenti à des kilomètres à la ronde. « Tout le monde a eu peur » « Tout le monde a eu peur, même dans le village », rapporte le couple. Ils sont habitués aux tirs de mine dans la carrière de Bellignies, une à deux fois par semaine. Mais pas à un tel boucan. Côté Sécab, on reconnaît que ce tir-là s’est « mal passé » (lire ci-dessous). Un seul raté sur une soixantaine d’explosions programmées chaque année. N’empêche. Les riverains fulminent. Les tirs, le bruit, la poussière, le passage des camions. Quatre raisons de lancer une pétition. Pas pour fermer la carrière de roche, non. Pour avoir la paix. « Ce n’est pas un caprice de résidant secondaire », avertit Daniel, lui aussi aux premières loges. Sa maison aurait perdu 25 à 30 % de sa valeur. « La Sécab est inscrite dans une démarche environnementale, très bien. Quand il n’y a pas trop de commandes, elle sait faire. Quand il y en a trop, elle est incompétente pour respecter les voisins. » Nicole, photos à l’appui, parle de ces poussières qui lui empoisonnent le quotidien et les sinus. Daniel évoque ce mois de mars 1994, quand des cailloux ont bousillé sa toiture. « Aujourd’hui, il n’y a plus de projection de gravats, reconnaissent-ils. Mais là, ça devient dangereux ! » Joël demande que « le travail soit fait proprement ». La pétition tourne depuis quelques jours. Les signatures s’alignent. Apparemment, ils sont nombreux à partager son point de vue. «On améliore régulièrement les choses» Que s’est-il exactement passé, ce vendredi 9 août ? « Un loupé. Le tir s’est mal passé. Une cavité n’a pas été décelée au forage. L’explosion a mis en pression l’air présent dans cette poche. Ça a fait trembler le sol, mais il n’y a pas eu de projection. Je comprends que les riverains aient eu peur. On assume, même si on n’est pas directement responsables. On a constaté les dégâts et discuté avec eux. Hélas, ça a réveillé les rancœurs. » Ils pointent aussi du doigt les poussières, le bruit… « Ce qu’on fait génère forcément de la poussière. On ne peut pas mettre le site sous cloche, alors on améliore régulièrement les choses, on fait évoluer les structures pour la confiner au maximum. Les stocks sont arrosés, les voiries aussi, pour éviter l’envol des poussières. Un système de dépoussiérage à sec complète le dispositif. Seulement, quand il y a du vent et pas d’eau, comment peut-on faire ? L’objectif, c’est d’être accepté par tous. On a conscience de nos obligations et des attentes, mais il faut aussi comprendre que nous ne sommes pas des salauds d’exploitants qui s’engraissent. Ce qu’on fait sert à tout le monde. » Justement, à quoi servent les gravats extraits ? « À faire du béton, des parpaings, des fonds de route... La roche est concassée sur le site. » Votre société s’est engagée dans le développement durable… « Depuis 2007 oui. En 2013, on a investi 200 000 euros sur les problèmes environnementaux (dont les poussières). Nous sommes soumis à des analyses toutes les semaines. On a installé des laveurs de roues, entre autres. Mais tout ce qui va, on n’en parle pas ! »

 EN BELGIQUE 09 août 2013 Mais quel était donc ce "bang"? Vers 12h10 ce vendredi, de nombreux habitants honnellois, mais aussi des communes voisines, ont entendu une courte déflagration. Brève mais intense, celle-ci a été ressentie tel un tremblement de terre. De nombreux témoins parlent d'importantes vibrations dans leur maison, tel que les vitres. Contactée par téléphone, la section de séismologie de l’observatoire royal de Belgique assure cependant qu’il ne s’agissait pas d’un tremblement de terre. « Nos appareils n’ont rien enregistré », dit un des scientifiques. « Il s’agissait sûrement d’un bang supersonique causé par exemple par un avion qui a traversé le mur du son. Ce genre de bruit est assez impressionnant et peut faire penser à un tremblement de terre se répercutant sur plusieurs kilomètres à la ronde.

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